Quand le bonheur ne connaît pas de nuage : l’apprentissage (1/4)
Dernière mise à jour : 24 févr.
Combien de personnes pensent que le bonheur se résume à ne pas avoir de problème, à ne pas éprouver de colère, à éliminer toutes pensées négatives. Pourtant, définir le bonheur en ces termes nous amène immanquablement à la souffrance : avoir une baisse de moral conduirait alors à la culpabilité tandis que ressentir un sentiment d’insatisfaction nous mènerait à l'autoflagellation.
Tout comme le concept de réussite ou d’échec, vivre le bonheur c’est commencer avant tout par le définir avec justesse. Pour cela, il est nécessaire de nous libérer des croyances limitantes, de nous éloigner de l’ego.
Le véritable bonheur se cache derrière l’acceptation de toutes nos expériences. Comme un enfant, ouvrons-nous à la colère, la tristesse, aux doutes et à toute la palette des émotions qui visitent notre être. Pour être heureux, il faut apprendre à traverser les tempêtes.

Eternel apprenti
Le bonheur est avant tout personnel et s’apprivoise tout au long de notre vie. Les erreurs permettent de mieux discerner ce qui nous met dans l’illusion, elles nous éclairent. Cela requiert de tempérer la non abondance, d’apprendre à transformer une situation malencontreuse, de savoir prendre du recul pour mieux appréhender notre quotidien, de garder la capacité à rêver. Nous serons toujours à la fois maître et apprenti dans notre vie.
Lorsque les épreuves difficiles de la vie nous permettent d’évoluer en conscience, on parle d’un processus de “transformation vibratoire”. Nous mutons vers notre vérité d’être, notre identité, nous habitons alors notre complète souveraineté avec intégrité. Ainsi nous pouvons déployer notre propre école, emprunter la voie proposée par les guides, celle qui nous correspond.
Découvrez comment le monde extérieur peut avoir une grande influence sur notre bonheur à travers le prochain article "L'influence".
Amicalement, Sylviane